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Mars
Que penser de la Journée Internationale des Droits des Femmes ?
Par Rémy CRUZ • Publié le 05/03/2020
Par Rémy CRUZ • Publié le 05/03/2020
Qu'est-ce que je pense de la Journée Internationale des Droits des femmes, le 8 mars ?
C'est avant tout une journée revendicative pour faire avancer les droits des femmes, pour rappeler les inégalités sociales, sociétales entre les femmes et les hommes, pour dire Non aux violences faites aux femmes, pour dire Stop au Harcèlement sexiste et machiste, pour condamner les viols, les mutilations, les féminicides.
Le 8 mars, ce n'est pas la Fête de la femme à qui on offre une rose, un cadeau, une attention particulière. Cette dérive mercantile réduit la femme à une bonne ménagère avec qui on doit être gentil et courtois 1 journée dans l'année.
Si une journée des femmes a été instaurée, c'est parce qu'il existait et qu'il existe encore des discriminations évidentes. Et si nous "célébrons" toujours cette journée, c'est bien parce que, dépendant des situations géographiques, les conditions des femmes sont encore très amoindries et déplorables. Des droits souvent bafoués au détriment d'une société toujours misogyne basée sur des stéréotypes qui ont la dent dure.
Et comme le déclare parfaitement la secrétaire d’État chargée de l'égalité entre les femmes et les hommes, Marlène Schiappa :
"Le 8 mars, ce n'est pas un jour en l'honneur des femmes, un hommage à la beauté des femmes, [...] c’est une journée pour rappeler le chemin qu’il reste à parcourir ».
Dans notre école, nous profiterons de cette journée du 8 mars pour mettre en place des actions autour de l'égalité Filles / Garçons. L'école compte parmi ses missions fondamentales de favoriser la mixité et l'égalité entre les femmes et les hommes et de lutter contre les préjugés sexistes et les violences faites aux femmes.
C'est avant tout une journée revendicative pour faire avancer les droits des femmes, pour rappeler les inégalités sociales, sociétales entre les femmes et les hommes, pour dire Non aux violences faites aux femmes, pour dire Stop au Harcèlement sexiste et machiste, pour condamner les viols, les mutilations, les féminicides.
Le 8 mars, ce n'est pas la Fête de la femme à qui on offre une rose, un cadeau, une attention particulière. Cette dérive mercantile réduit la femme à une bonne ménagère avec qui on doit être gentil et courtois 1 journée dans l'année.
Si une journée des femmes a été instaurée, c'est parce qu'il existait et qu'il existe encore des discriminations évidentes. Et si nous "célébrons" toujours cette journée, c'est bien parce que, dépendant des situations géographiques, les conditions des femmes sont encore très amoindries et déplorables. Des droits souvent bafoués au détriment d'une société toujours misogyne basée sur des stéréotypes qui ont la dent dure.
Et comme le déclare parfaitement la secrétaire d’État chargée de l'égalité entre les femmes et les hommes, Marlène Schiappa :
"Le 8 mars, ce n'est pas un jour en l'honneur des femmes, un hommage à la beauté des femmes, [...] c’est une journée pour rappeler le chemin qu’il reste à parcourir ».
Dans notre école, nous profiterons de cette journée du 8 mars pour mettre en place des actions autour de l'égalité Filles / Garçons. L'école compte parmi ses missions fondamentales de favoriser la mixité et l'égalité entre les femmes et les hommes et de lutter contre les préjugés sexistes et les violences faites aux femmes.
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